Les
Tribus
Chapitre
Huit
RUBEN ET LES FRANCS “RIPUAIRES”
"8 Voici les noms des fils
d'Israël, qui vinrent en Égypte. Jacob et ses fils. Premier-né de Jacob:
Ruben. 9 Fils de Ruben: Hénoc, Pallu, Hetsron et Carmi. ". Genèse 46; 8-9.
Origine des barbares
Francs
Les Israélites qui émigrèrent, ou tout au moins une partie d’entre eux,
furent connus sous le nom
Scythes. Ceux-ci envahirent l’Europe occidentale et furent appelés
"Barbares". L’origine du nom « Barbare » est incertaine. Il
pourrait dériver du sémitique "Babiru" qui était
une forme de 'Habiru" qui signifie
« Hébreux ». Les Barbares apparaissent dans l’histoire en
Germanie et en Scythie. Ils étaient composés d’Israélites,
d’Edomites, et d’autres
groupes.
Une des confédérations majeures
parmi les Barbares étaient les Francs. Les Francs étaient une fédération
de plusieurs tribus plus petites qui formaient l’ensemble des Francs et
qui partageaient certains points en commun. Il semble qu’ils apparaissent
vers 256 de notre ère lorsqu’un de leurs groupes envahit la Gaule, passe en
Espagne, et ensuite en Afrique du Nord. D’autres groupes Francs émergent
bientôt de la région nord du Rhin et commencent à étendre leur influence
jusqu’à ce qu’ils arrivent à contrôler toute la Gaule qui sera appelée du nom de
France (i.e. Pays des Francs) en leur honneur. Un chant 2 en Gaule qui
date d’environ 350 de notre ère les assimilait aux Perses et aux Sarmates.
Les Perses et les Sarmates avaient côtoyé les Scythes en Scythie. D’autres
traditions (comme celle citée par Nicholas Vignier ca. 1630)3 affirment que les Francs étaient des
Scythes ou des Sarmates. Les Francs apparaissent tout d’abord à
l’embouchure du Rhin et se dirigent vers le Sud. D’anciens récits 4
affirment que les Francs seraient venus de l’ancienne région saxonne de
Maurunganie dans la Germanie du Nord au-dessous du
lieu où vivaient les Normands. La géographie de Ravenne (8ème siècle de
notre ère) affirme que les Francs se trouvaient dans le sud du Danemark.
Une autre source décrit les Francs comme, "Un peuple dont l’ancien nom
était les Deni [i.e. Danois]. D’après la
légende les Francs seraient issus de cette famille, " (Ermoldus Nigellus 826
CE)5. Ceci permet de penser qu’une partie
des chefs Francs ait pu venir de Scandinavie.
D’autres traditions sérieuses et conséquentes 6 relient les Francs
(connus aussi sous le nom de « Frakkar » et de "Frygges") à la Phrygie, avec Troie (près de
la
Phrygie en Anatolie, Turquie), et avec la Pannonie à l’époque
romaine, qui plus tard sera la Hongrie7 mais ce terme sera
employé à une zone qui comprenait le Nord et le Sud. Quel que soit
l’endroit où les peuples francs aient pu séjourner temporairement, leur
origine doit être recherchée en Scythie à l’est de la Mer Caspienne.
Les Francs se rattachent aux Hugie, aux
Tectosages et aux peuples vivant dans les steppes de la Scythie. Les
Francs devaient être appelés à se déplacer vers l’Ouest et à conquérir les
peuples celtes incluant les Galates et à s’établir en France. Les Celtes
étaient alors concentrés en Gaule (France) et en Grande Bretagne mais
avaient pendant un temps été présents dans une grande partie de l’Europe.
Avant même d’avoir conquis la Gaule, les Francs avaient prouvé
leur capacité à absorber les autres peuples, surtout ceux qui présentaient
des affinités avec les Celtes. Il est très possible qu’au cours de leurs
déplacements, les Francs aient rassemblé des groupes de Cimmériens et de
Galates qui, auparavant, avaient été dispersés dans le Sud-est de
l’Europe. Les Francs finirent pas conquérir la Gaule dont la partie
septentrionale était peuplée de Galates. Certains écrivains français
disent que les Francs étaient surtout d’origine galate.
On connaît aussi
les Galates ou les Galati sous le terme de Galadi et en français c’est une forme de l’hébreu
"Gilead" (Galaad). La tribu de Ruben
s’était, à l’origine, installée à l’est du Jourdain dans le pays de Galaad
(Josué 22;9). Les Francs dans l’Europe du Nord
furent connus au début sous le nom de "Huga"8 et
ce nom est une indication les rattachant aux Hugie de Scythie. Parmi les Hugies de Scythie des noms
de tribus (comme les "Gali") existaient qui
étaient associées avec les Galates. Un contact avec les Galates pourrait
expliquer les associations entre Troie et la Phrygie et les Francs. Un
groupe célèbre de Galates était reparti de l’Europe de l’Ouest vers l’Est
et avait attaqué la
Grèce, était passé en Asie Mineure et s’était établi en
Phrygie, prés de Troie, en Anatolie. Certains Galates étaient aussi partis
(à une autre époque) vers l’Est en direction de la Scythie et ceux-là aussi ont pu
avoir des rapports avec les Hugies. Les Galates descendaient des anciens
Cimmériens 9 une partie d’entre eux avait précédemment (avant de partir en
Europe) aussi séjourné pendant environ 160 ans en Phrygie. Les Francs
devaient à terme s’établirent en Hollande, en Belgique et dans le nord de
la France.
Ils descendent principalement de la tribu de Ruben bien
qu’ils aient absorbé des éléments d’autres tribus
israélites.
Ruben dans le
Moyen Orient avant l’Exil et ultérieurement en
Scythie.
Les tribus de Ruben, Gad, et la demi tribu de Manassé s’étaient installées
en Galaad et à Basan, avant l’exil, sur la rive orientale du Jourdain
dans le Pays d’Israël. Plus tard la tribu de Siméon s’y établit aussi
(1-Chroniques 4; 42) à côté des rejetons d’autres tribus israélites. Ce
modèle d’installation devait être reproduit plus tard par les descendants
de ces mêmes tribus en Scythie.
Il y avait quelques groupes de Galates (comme les Tectosages et les Gala)
dans la fédération hugie en Scythie ; cependant la plupart d’entre
eux avaient déjà atteint la
Gaule, la
Grande Bretagne et l’Ouest beaucoup plus tôt et y étaient
restés. En Scythie, les Hugies (de Ruben) vivaient prés des Goths de Gad
et des descendants des Amyrgiens-Sakae de Machir
qui avaient été les éléments moteurs de la moitié de la tribu de Manassé,
située à l’est du Jourdain en Israël. "GALAAD" était le nom donné à une
grande partie du territoire situé à l’est du Jourdain dans le pays
d’Israël y compris le territoire dans lequel vivait la tribu de Ruben.
Galaad était aussi le nom d’un fils de Machir fils de Manassé. Les Galaadi ou
Galates reçurent leur nom, soit du territoire israélite de Galaad,
soit du clan israélite de Galaad fils de Manassé qui vivait dans une
partie de Galaad. Il convient de souligner la chose, car elle est source
de confusion: "Galaad" était un clan important dans la tribu de Manassé à
l’est du Jourdain, mais on peut aussi appliquer ce nom de “Galaad” à
l’ensemble de la zone israélite à l’est du Jourdain dans laquelle
s’étaient établis Ruben, Gad, et la demi tribu de
Manassé.
Le clan de Galaad comprenait la majeure partie du groupe de Manassé qui
s’était trouvée à l’est du Jourdain dans le pays d’Israël et était voisin
de Ruben qui, à son tour, côtoyait Siméon au sud. En Scythie les Samnitaes de Siméon était voisins du territoire hugie.
Le nom hugie dérive de celui de “Hagi”, fils de
Gad, bien que la plupart des « Hugie-Francs » semble venir de Ruben. Le premier
fils de Ruben fut Hanoch (i.e. "Chanoch": , Genèse 48:9). Le
"n" en hébreu et dans les dialectes des steppes de la Scythie semble être
inséré dans les mots, voire, supprimé pour des raisons euphoniques. Il se
peut que Hanoch et Hagi, bien que ce fût des entités indépendantes, aient
été confondues l’une avec l’autre en raison de leurs relations de
familles, de proximité géographique et d’histoire commune. On signale un
peuple scythe, les Heniochi (cf. Hanochi de Ruben), dans la région du Caucase. A l’est
de la
Scythie (en "Serica") les
RHABBANAEI 10 de Ruben côtoyaient les Garinaei que l’on identifie avec
Eri ou "Geri" ( ) de
Gad, les Damnae dont le nom était prononcé
ailleurs comme Dan, et les Aspacarae dont le nom
est une forme de Joseph (chose qui sera expliqué plus
avant).
Sur la carte de
« l’Arabie » de Ptolémée la tribu de RUBEN en Israel était appelée "Rahabbanai", (bien longtemps avant que les Israélites
du Nord n’aient été exilés). La correspondance Mari de la Syrie du Nord sur
l’Euphrate mentionne les Rabeans (de Ruben) en
compagnie d’un groupe appartenant à Benjamin (Banu/Maru Yaminas) et à Gad (Bene
Simal et Zapunni).
Manassé est aussi connu dans cette région sous le nom de "Manas" et de
"Mentiu". Ruben dans la Terre d’Israël à l’est du
Jourdain était associé avec la moitié de Manassé de Joseph et de Gad.
C’est le même modèle que nous trouvons plus tard en Sérica à l’est de
la Scythie.
De Sérica, ils se déplacèrent vers l’ouest en tant que
Francs.
Ruben en
Europe.
En Europe de
l’ouest, les Francs étaient divisés en plusieurs groupes et on suppose que
les principaux sont les Francs Ripuaires, les Francs Saliens, et les Chatti ou Hessiens11. Les Francs Ripuaires (i.e.
"rive") furent appelés ainsi par les Romains car ce furent les premiers
Francs auxquels ils eurent à faire face sur les rives du Rhin, et en Latin
"ripa" signifie « rive ». On leur donne aussi le nom de "Ribuari" et ce nom en hébreu est une autre forme de
RUBENY. Lorsqu’ils étaient en contact avec un nom étranger, les Grecs et
les Romains (comme les Hébreux), avaient l’habitude d’interpréter sa
signification d’après un son qui leur était familier dans leur propre
langue. C’était particulièrement vrai lorsque le mot en question décrivait
de façon pertinente ce peuple comme c’est le cas avec « rive »
(i.e. "Ripuari") pour les Francs sur le Rhin.
"Ribuari" semble avoir été le nom par lequel les
Francs eux-mêmes se nommaient. Ruben en hébreu peut aussi se dire REUBAR!
"Ribuari" signifie “fils de Ruben” qui était le
nom de leur ancêtre. La forme abrégé de Ruben est « Rubi » et à une époque, un peuple portant ce nom
se trouvait sur les rives du Rhin. Il semble que ce fût les Francs
ripuaires.
On
rapporte qu’en 276 de l’ère commune 12 les Francs franchirent les limites
de la
Gaule romaine avec les Alamans. Ils furent repoussés vers
leurs bases sur le Rhin mais ils commencèrent un processus d’infiltration
pacifique en acceptant des terres de la part des Romains en retour de
services militaires. En plus des RIBUARI (Ripuaires), les Francs
comprenaient les Francs saliens et les Hessiens.
En Hollande, les Francs saliens se mélangèrent avec les Sicambres 13. Les
Sicambres et les Ambri avaient rencontré
Alexandre le Grand à l’est de la Caspienne 14 en Scythie, de
plus, on signale leur présence à Nysia sur
l’Indus15. Le nom « Sigambri »
était une autre forme utilisée en Europe pour Sicambrien et Ptolémée les identifie avec les Scymbi-Scyths dans la région de la Hugie en Scythie. Ils sont associés à
Secem, un clan de Manassé. Une partie des Sicambri en Scythie voisinaient les Salei, qui selon Pline se trouvaient à l’est de
la
Caspienne sur les rives du fleuve Jaxartes 16. Les
Salei devinrent les Francs saliens en
Europe qui se mélangèrent avec les Sicambres et finirent par leur être
assimilés. En Scythie, les uns et les autres avaient aussi été en contact.
On connaît aussi les Saliens17 sous le nom de Sicambres après qu’ils aient
eu fusionné entre eux en Europe. Ce groupe, à cause de la pression des
Huns au début des années 400, envahit la Belgique et le nord de
la France.
Environ à la même époque, les Francs ripuaires et les
Alamans entrèrent en Gaule à l’est par le Rhin où ils avaient été
concentrés en Westphalie. Les Francs avaient séjourné en Phalie occidentale et orientale. Le nom du lieu où
avaient vécu les Francs, la Phalie
18 vient de PHALUI, descendants du second fils de Ruben (Genèse 26; 9
Nombres 26; 5). Les Phalui ou Falhi19 (Francs)
en Est-Phalie étaient aussi connus sous le nom
de Cheruski et furent absorbés en partie par les
Saxons. Des groupes de Saxons s’établirent plus tard avec les Francs. Les
Francs phaliens descendaient de Phalui alors que les "Hugo" Francs (Chauci) descendaient de Gad (Hagi) et Hanoch de Ruben. On
retrouve plus tard Hanoch chez les Heniochoi qui vivaient dans la région scythe du
Caucase sur la rive orientale de la Mer Noire (Pline, N.H. 6;
26). Les Francs étaient aussi présents en Germanie et une région de
la
Germanie occidentale est justement appelée "Franken"
(i.e. Franconie). Cependant, l’opinion générale concernant cette partie de
la
Germanie est que "La population d’origine de l’ancienne
région de l’Hermunduri/Thuringe est restée
largement inchangée, pendant qu’une élite (a) franque s’y installait aux
6ème et 7ème siècles" (Dirk).
Le nom du troisième fils de Ruben, Hetsroni¨
(Chetsroni), se retrouve dans les Istaevones qui formaient une division des peuples
germaniques cités par Tacite et Pline. On dit qu’ils formaient plusieurs
tribus (Tacite: "Germania" 2) mais les seules à être clairement
identifiées sont les SICAMBRES qui se sont assimilés avec les Francs
Saliens (Pline, "Natural History" 4;4). Le nom Hetsron devait
être le même que celui des Hessuari (Chattuari) lesquels, en compagnie des Chamavi, Bructeri, Amsivariens, et Sicambres, se trouvaient dans la
région nord que les Francs occupèrent plus tard et dont la population devint les
Francs Hessiens ou Chatti 20. Le nom HESSE peut venir de HUSHIM (Hus-im) fils de Dan (Genèse 46; 23) et au début on
considérait que les Francs avaient une origine DANITE ou leur étaient
associés. Le quatrième fils de Ruben, Carmi, se
rappelle dans le nom des CHARINI. Pline inclut les Charini dans le groupe des VANDALES avec les Vandili (Vandales), Burgundians (Burgondes), et Gutones (Goths). [Les Gutones étaient des Goths descendants de Gad et
d’anciens associés de Ruben]. Des groupes de Vandili (Vandales) devaient s’établirent en France.
Carmi est aussi un nom qui se rapproche des
Cimmerians. Les Cimmeriens se sont trouvés à une époque dans le sud de
la Russie
en Crimée, d’où le nom de la région: localement, on connait ce pays sous le nom de "KRIM". Carmi donna son nom à la Carmania dans le sud de l’Iran où dès
les temps les plus anciens on trouve plusieurs autres groupes dignes
d’être mentionnés tels que Gad (Gadophydres,
Pasar-gadae, Gadrosia)
et Ruben (Carmania, Parthia, les Astaveni de
Hetsroni).
En Scythie les HUGIE (Francs) font leur apparition avec les Goths de l’Est
(Ostro-Goths) que l’on appelait aussi Tokhariens
ou Togar et sont apparentés à Thogarma fils de Gomer
(Genèse 10:3). On trouve ce nom à l’est de Serica (selon Ptolémée) là où les RHABBANAEI
côtoyaient les Taguri et les Thogara (Thogariens). Ce nom
rappelle celui des THORINGI (Turingii, Thuringii, Thuringiens) qui accompagnérent les Francs RIPUAIRES en Europe et leur
furent associés. Ils donnèrent leur nom à la Thuringe en Allemagne. Les
Francs « Ribuariens » ou
« Ripuaires » étaient connus sous le nom de RIBUARI 23 et ce nom
en hébreu devait avoir la même signification que Ruben tout comme les
Rhabbanei de Serica
étaient nommés d’après Ruben.
Ruben et
Gog.
Les noms des fils de Ruben peuvent être mis en parallèle avec les noms des groupes
importants des Francs; Hanoch=Hugo; Phalui=Falhi; Hetsron (Chetsron)=Istaevone & Hessuari
(Chattuari), et le quatrième fils Carmi avec les Charini. Tous
ces groupes se sont installés en France. Un descendant important de
Ruben et apparemment fondateur d’un clan (1-Chroniques 5:3) «était appelé
GOG ». "GOG" porte un nom pouvant s’appliquer à une partie de la
tribu de Ruben mais c’est aussi le nom d’un roi étranger du nord, "le chef
principal de Meschec et de Tubal"; "Gog, pays de Magog" (Ezéchiel 38;2-3). La
tribu de Ruben était mélangée dans une certaine mesure avec celle de Gad
dont le nom en hébreu peut se prononcer comme celui de GOTH. Il se peut
que le clan Gog des Rubenites dans la province
caucasienne de Gogarene (Iberie) et ses connections avec les Goths ait pu être
la cause de confusion de la part d’auteurs entre Goths et Scythes et Gog
et Magog? Dans la littérature tibétaine la région de Sérica (qui fut
peuplée pendant un temps par les Rhabbanaei et
d’autres groupes) était identifiée comme celle de "Gog". Dans le folklore,
Gog et Magog et les GOTHS étaient assimilés aux Dix Tribus d’Israël
24. Gog et Magog au sens biblique concernent les populations de
Russie et de l’Asie. La confusion entre Gog et Magog et les Dix Tribus
provient de deux causes:
1. La tendance de la littérature
allemande à voir dans les Dix Tribus Perdues l’ennemi suprême à venir.
2. Les Goths et les Francs ont
surgi de l’Asie Centrale et cette région était traditionnellement associée
avec Gog et les Dix Tribus.
"1
Fils de Ruben, premier-né d'Israël. -Car il était le premier-né; mais,
parce qu'il souilla la couche de son père, son droit d'aînesse fut donné
aux fils de Joseph, fils d'Israël; toutefois Joseph ne dut pas être
enregistré dans les généalogies comme premier-né...... (1-Chronicles
5; 1). "Fils de Ruben, premier-né
d'Israël: Hénoc, Pallu, Hetsron et Carmi.
4 Fils de
Joël: Schemaeja, son fils; Gog, son fils; Schimeï, son fils;
5 Michée, son
fils; Reaja, son fils; Baal, son
fils;
6 Beéra, son fils, que
Tilgath Pilnéser, roi
d'Assyrie, emmena captif: il était prince des Rubénites. , (1-Chroniques 5;
3-6).
Caractéristiques de Ruben
Selon un Midrash (Nombres Rabah 2; 5) le symbole de Ruben était la
mandragore. Ruben avait trouvé des mandragores dans les champs (Genèse 30;
14) et les avait portées à sa mère Léa. Elle utilisa ses mandragores pour
« détourner » l’attention de son mari de Rachel.
Traditionnellement, les mandragores ont une réputation aphrodisiaque et on
se souvient, qu’une fois, Ruben (Genèse 35; 22) a agit irrégulièrement
avec Bila, la concubine de son père. A tort ou à raison, les Français ont
la réputation internationale à avoir des penchants romantiques. On décrit
la mandragore avec une fleur blanche ou violette, ce qui est peut-être
l’origine de l’usage de la fleur de lis comme symbole de la monarchie
française dont on trouve un précédent sur les pièces de monnaies juives 26
aux environ de 130 avant l’ère commune. Les premiers rois francs, les
Mérovingiens, pratiquaient un culte du soleil 27 et le roi français Louis
XIV (considéré comme l’apothéose de la royauté française) était connu sous
le nom de « Roi Soleil ». Le soleil levant est aussi considéré
comme un symbole associé à Ruben, selon des sources traditionnelles
populaires juives. Dans les synagogues, les symboles des douze tribus
servent fréquemment comme thème de décoration. C’est souvent que
l’on attribue à Ruben le
symbole du soleil levant.
Chaque
tribu d’Israël était représentée par un animal 28 en plus d’autres
symboles. Les symboles des différentes tribus pouvaient être inter changés
dans certaines circonstances et une tribu pouvait utiliser, à l’occasion,
le signe normalement réservé à une autre (Cantiques des Cantiques Rabah
4;7). L’auteur ne connaît pas l’animal symbole de
Ruben mais les Francs mérovingiens pratiquaient un culte de l’OURS 29. Les
Parthes sont aussi comparés aux « OURS » dans le Talmud (Megilla 11a). Les Parthes de la Scythie orientale avait pris le
contrôle de la Perse.
Ils étaient en relation avec les Goths de l’orient et
étaient d’origine israélite dans une mesure importante. Une grande partie
de la tribu de Ruben se trouvait parmi eux. Avant les Francs,
la France
s’appelait la
Gaule ou “Gallia » et ses habitants les Galli, ce qui en bas latin signifie « coq ».
Les Français ont utilisé le coq comme emblème national. Le coq qui chante
en général dans le folklore juif se rapporte au lever du soleil ce qui
correspond au « Soleil » ou « le Soleil levant »,
symbole de Ruben. De plus, on retrouve les traces de Ruben et de ses clans
chez des entités qui ont fini par s’installer en France, comme les Francs
ripuaires (connus aussi comme "Rubi") ainsi que
leurs parentés. Même ainsi, l’opinion générale d’aujourd’hui qui prévaut
est que les Français descendent des anciens Gaulois, Celtes, Aquitains, et
d’autres cultures celtiques. Seule une faible minorité (prétendu peut-être
à tort?) descend véritablement des Francs, Goths, Vandales, Normands,
Alamans, et d’autres peuples semblables. Ce sont ces groupes tardifs, qui,
de Scythie, envahirent l’ouest via la Scandinavie et
la Germanie.
Les peuples associés aux Celtes (qui, dit-on, sont à
l’origine des Français) étaient composés de tribus indigènes regroupés
avec d’autres telles que les Cimmériens-Galates,
qui arrivèrent de l’orient.
"GALATAE" (Galate) est le nom donné aux Gaulois dans les écrits grecs. Les
Romains les appelaient "Galli". Les termes
"Galatae" et "Galli"
sont tous les deux des dénominations hébraïques. "Galli" signifie "Exilés" (comme le note Apartian)
et Galiléen". Le nom "Galatae" est rendu
par "Galadi" dans certains récits et est une
forme du nom hébreu "Gilead". Dans les
traductions françaises de la Bible "Gilead" est rendu par "Galaad".
Après avoir exilé les Dix Tribus d’Israël, les Assyriens reconstituèrent
l’ancienne région de Galaad avec des parties des pays de Ruben et de Gad
en une province appelée "Galazu" qui était leur
version de "Galaad". De même, les monarques grecs Seleuciens-Syriens nommérent
approximativement la même région "Galaaditis".
Dans le livre de Josué on dit que les Rubénites,
les Gadites, et la demi-tribu de Manassé partirent dans le pays de Gilead:
"Les fils de Ruben, les fils de Gad, et la demi-tribu de Manassé, s'en retournèrent, après avoir
quitté les enfants d'Israël à Silo, dans le pays de Canaan, pour aller
dans le pays de Galaad, qui était leur propriété et où ils s'étaient
établis comme l'Éternel l'avait ordonné par Moïse...." (Josué 22;
9).
Il
s’ensuit du passage ci-dessus, du terme assyrien "GALAZU" et du séleucide
"Galaaditis" que le nom "Galaad" et ses dérivés
pouvaient être utilisés pour désigner tous les territoires de Ruben et de
Gad, aussi bien que celui de "Galaad" proprement dit dans Manassé. Cette
déduction et cette conclusion sont d’ailleurs confirmées par la découverte
récente d’une ville dans le nord de la Syrie au sud de l’Euphrate nommé
"Galaad". Ce qui veut dire que ce nom "Galaad" a été trouvé dans les
limites de l’ancien territoire de Ruben. Les noms "Galaadi" ou "Gileadi" ou
encore "Galatae" devraient donc pouvoir être
applicables aux anciens habitants de la région de "Galaad" dans son sens
le plus large, ce qui inclut aussi les descendants de
Ruben.
Puisque les Francs ainsi que d’autres entités ethniques qui étaient
installées en France portaient des noms rappelant les clans de Ruben et
que le caractère et la position de cette dernière est applicable à Ruben,
les GALATAE (Galates) de
France étaient également, pour la plupart, dérivés d’une partie de GALAAD
appartenant à RUBEN. Un raisonnement semblable relie les Caledoniens et les Galedon
de Grande Bretagne à Galaad de Manassé.
Ruben et les
Français dans l’Histoire
Des points
intéressants à noter: Les fils de Ruben étaient destinés (Zohar,VaYechi, 551, Sulam Edition) dans les Derniers Jours à porter la
guerre dans le PAYS D’ISRAEL contre (ou pour) Jérusalem. Ce sont les
"Francs" qui dirigèrent les Croisés d’Europe (1069-1270) dans leur
tentative de conquérir la Terre Sainte et Jérusalem.
Napoléon Bonaparte, Empereur des Français offrit en 1799 de redonner
la
Palestine aux Juifs. Que Napoléon ait été sincère ou non
dans son intention, ce furent les Français avec les Britanniques qui
créèrent un climat politique qui rendit possible la Déclaration Balfour
et ensuite la création de l’Etat d’Israël. Les Britanniques n’auraient
probablement pas fait la Déclaration Balfour
si les Français n’avaient pas donné leur accord de principe. Des
volontaires français non-juifs (Gentils) ont combattu aux côtés des Juifs lors de
la Guerre
d’Indépendance d’Israël (1948 -1949). La France a soutenu l’Etat d’Israël
dans son programme nucléaire et dans son armement en général dans les
premières années qui ont suivi la Déclaration d’Indépendance
d’Israël. A une époque plus tardive, les Français ont montré qu’ils
pouvaient aussi être anti-sémites et les supporters virulents des
“Palestiniens” qui veulent tuer tous les Juifs. Un intellectuel français
rapporte qu’en Europe, en 2001, le soutien pour une intervention armée en
faveur des Palestiniens contre les Juifs était orchestré par
la France.
Ce rapport peut être exagéré, mais il vaut la peine de
s’en souvenir. La
France en tant que nation contient de nombreux éléments
non israélites qui obtiennent fréquemment le dessus. La France, aujourd’hui,
abritent environ 20% de Musulmans d’Afrique du Nord, et beaucoup d’autres
qui descendent des Italiens, des Allemands, des Polonais et d’autres.
La
France, comme tous les pays européens, contient des
éléments d’Edom. Esau
(Essuvis) était adoré en tant que dieu dans
la Gaule
ancienne. Depuis le début,
les nobles en Gaule traitaient leurs sujets presque comme des esclaves et
comme s’ils avaient appartenu à une autre race. [En Grande Bretagne, par
contre, les indigènes avaient la réputation de fermeté et d’égalité]
Les nobles gaulois étaient admis au Sénat de Rome en tant qu’égaux, et
ceci peut penser à une parenté ethnique avec les Romains. Il existait des
éléments parmi les Français qui les apparentaient aux Allemands.
La France
de Vichy durant la
Seconde Guerre Mondiale montra des tendances pro
germaniques, mais les Français de la France Libre qui
combattirent aux côtés des alliés donnèrent une très bonne impression
d’eux-mêmes. Les Protestants de France étaient les plus Israélites dans
leur comportement et ils s’impliquèrent pour sauver des Juifs de
l’extermination. L’attitude des Protestants français reflète leur culture,
leurs propres expériences ou l’influence de la Bible et celle de leur
ascendance. Léon Poliakov rapporte qu’au Moyen Age: <<Les Français
se souciaient peu de savoir s’ils descendaient de
Japhet ou des Troyens. C’étaient des Chrétiens. De plus, on admettait
généralement, tout au moins parmi les lettrés, que la race humaine avait
parlé autrefois une langue universelle avant la dispersion de la tour de
Babel, et que cette langue était l’hébreu. Il existait un consensus
général quant au lieu où s’était trouvé le berceau de l’humanité. C’était
la Judée,
aux confins de la Terre
Sainte>>30. A sa façon, ce passage résume
assez bien l’attitude spirituelle de l’élément israélite en France: aucune
identification définitive avec les Israélites mais une notion brumeuse
d’avoir peut-être parlé l’hébreu avant la "Dispersion" (représentée par
Babel) et que peut-être qu’on y retournerait un jour. Pendant une brève
période, les Français ont régné sur la Syrie (1920-1928) et ce pays se
trouve dans le vaste territoire qui a appartenu un jour à la tribu de
Ruben. Les Français ont été traditionnellement impliqués au Liban et ont
été les protecteurs des Libanais chrétiens. Certains Chrétiens libanais
descendent des Croisés français. Selon le Livre d’Ezéchiel (48; 7) Ruben
est appelé à hériter sa part tribale entre Juda au sud et Ephraïm au nord,
c'est-à-dire dans un territoire entre les descendants des Juifs et des
Britanniques.
Les noms des
tribus montrent le caractère de la nation.
Le nom « Ruben” en hébreu signifie tout d’abord “Voir un fils” (Rue-ben) bien qu’il ait aussi une connotation de
croissance ("Ribui") et de
plénitude.
"Hanoch"
les fils de Ruben, signifie "Inauguration", or
"Education".
"Phalu" signifie
"Distinction".
"Hetzron" signifie "Habitant de
la
Cour".
"Carmi" peut venir de "Cerem" qui signifie "Vignoble".
Les
noms ci-dessus apportent un sens supplémentaire à la lumière de l’histoire
et de la culture française. Les Français ont tendance à être exigeants sur
la qualité supérieure de l’enseignement et sont très portés sur le
cérémonial: deux caractéristiques représentées par le nom "Hanoch". Ils préfèrent la qualité à la quantité et,
dans certains domaines, sont les meilleurs.
"Phallu" = Distinction. Les Français aiment la
distinction et le style. La mode et les parfums français sont connus pour
tenter d’atteindre ce petit plus « extra » qui fait la
distinction. Les Français sont célèbres pour leurs aristocrates et leurs
paysans et ces deux groupes se retrouvent dans le nom hébreu "Hetsron" qui signifie « Habitant de la
cour ».
"Carmi"
en hébreu veut dire “Mon vignoble ». La France est bien connue pour ses
bons vins et ses experts en oenologie. Les vins français sont considérés
les meilleurs du monde. Les Français consomment de grandes quantités de
vin et celui-ce fait partie de leur nourriture de base. L’exportation de
vin et sa production tel que le Cognac sont une source importante pour
gagner des marchés étrangers. Les noms des fils de Ruben participent d’une
façon importante à l’Histoire ancienne de la France. Ces noms décrivent
aussi des aspects importants du caractère national des
Français.
La France,
la Bible
et la
Tradition
En hébreu médiéval
et moderne, la
France est
appelée "Sarepta". Sarepta était à l’origine une ville phénicienne,
"Sarepta qui appartient à Sidon" (1 Rois 17:9) où vivaient aussi les
Israélites. D’un bout à l’autre de la Gaule ancienne, et surtout sur la
côte nord ouest, on trouve des traces de comptoirs phéniciens ou
israélites 31. Il se peut que la France ait reçu le nom de
Sarepta pour des raisons ethniques dues à quelque lien ou parenté avec les
Phéniciens israélites de Sarepta (Daat Sofrim). On cite aussi le nom dans le livre d’Abdias
et la plupart des Commentateurs classiques disent que cette citation
biblique se rapporte à la
France, (Rashi, Radak,
Daat Sofrim), ou en
général au Nord (Nachmanides, Segfer HaGeulah),
ou (selon Abarbanel) la
France et l’Angleterre.
Abdias
dit : <<Les captifs de cette armée
des enfants d’Israël posséderont le pays occupé par les Cananéens jusqu’à
Sarepta. Et les captifs qui sont à Sépharade posséderont les villes du
midi.>> (Abdias
1:20).
La
traduction française est celle de la Bible de Segond. L’original hébreu de la première partie
d’Abdias 1 :20 peut être traduite comme suit selon les Commentateurs:
“This
first exile [of the Lost Ten Tribes] who reach from the Land of Canaanites [i.e. Germany and Holland] to Zeraphath
[France and Britain]..”32
"Ce premier exil qui part du pays des Cananéens (i.e. l’Allemagne et
la
Hollande) et s’installent à Sarepta (i.e. la France et la Grande Bretagne)… »
Le bon sens de
la Bible
hébraïque et la lumière de la tradition permettent de comprendre qu’au
moins une partie des Dix Tribus Perdues iront à Sarepta, c’est à dire,
la
France, ou la France et
l’Angleterre.
Note: Un
autre article traitant plus en profondeur des caractéristiques nationales
de Ruben et des Français paraîtra bientôt. Cet article a été préparé comme
supplément à la traduction française (en préparation) de "Origin".
Les PEUPLES de
RUBEN
RUBEN:
Rahabbanai au nord
est de l’Israël « syrienne » selon la Cartographie de Ptolomée; Rhabbanai (Scythie
orientale).
Ribuari (Francs ripuaires), Rubi
(Francs),
CLANS de RUBEN:
Chanoch
= Chauci, Hugo (Francs, Saxons).
Palui (Phalui) = Falia (Phalia de Germanie
d’où les Francs envahirent la Gaule)
Chetsroni = Chassuari (Francs), Istaevones (Sicambres-Francs).
Carmi = Carmania (au sud de
l’Iran), Crimée (Scythie), Carini (Francs de
Gaule).
Gog (un clan de Ruben) = Gogarene (Iberie dans le
Caucase), Gog (Etat dans la Scythie au nord du Tibet), nom
des Goths et des Dix Tribus Perdues selon les traditions
populaires.
Nemuel - Nemetes (Nantes) de la
Gaule (?)
Illustration: RUBEN =
France
L’emblème
officiel de la
France est son drapeau tricolore. Avant c’était la
fleur-de-lis, l’emblème de la royauté pendant le Moyen
Age.
L’emblème tricolore a été adopté par la Troisième
République comme étant
"quasi-officiel".
La devise signifie, "Liberté, Egalité, Fraternité", et ces
caractéristiques (qu’elles soient bonnes ou mauvaises) auront donné un
exemple de l’image de Ruben dont la Tribu domine les éléments
israélites en France.
LIBERTE: Ruben se
conduisit d’une façon inconvenante envers la concubine de son père
(Gen.37; 22) ce qui montre qu’il prit trop de « liberté » au
dépens d’autrui. RUBEN avait l’intention de libérer Joseph et
effectivement il lui sauva la vie (Gen.37; 22) ce qui est une application
des principes de LIBERTE et de FRATERNITE.
En même temps, Ruben était le premier-né et il aurait dû agir avec plus
d’autorité; c'est-à-dire, l’EGALITE fut mal
appliquée.
Ci-dessus: Tampon israélite montrant le symbole de
la
Mandragore de Ruben.
Ci-dessous: Décoration
d’armement appartenant à des colons francs ou saxons dans le nord de
la France.
Notez l’Etoile de David.
Les Tribus
ch.8: Notes de bas de page et
Références
Voir la traduction araméenne de Onkelos de Genèse 29;32. Dans
le nom hébreu "Ruben" (qui se prononce à peu prés comme "Ra-oo-ben"), "RA-OO" signifie "Voir" et "BEN" signifie
"fils", ainsi "Reu-ben" signifie "Voir un Fils".
"BAR" est l’araméen pour "fils" ou plutôt un synonyme hébreu pour
« fils » et qui est plus commun en araméen. L’araméen et
l’hébreu avaient en commun un
stock de racines de mots assez important. "BAR" peut être employé pour
FILS au lieu de l’habituel "BEN" dans les Proverbes 31 :2 dans
la Bible.
Voir la Concordance de Iben-Shushan. En tout état de cause, le mot "bar" en hébreu devrait être une
forme acceptée pour "fils"
(tout comme l’habituel "Ben" qui signifie "fils") qui ressemble à
l‘Ecossais "bairn." Il est évident aussi que
l’hébreu parlé par les Israélites du Nord a été influencé par l’araméen et
ce point s’applique aussi aux tribus à l’est du Jourdain, voir "Ephraim" pp.238-239. Ainsi, REU-BAR est une autre
forme du nom REU-BEN. Dans les dialectes sémitiques le "R" et le "N" sont
souvent interchangeables c’est pourquoi le "N" dans "BN" (Ben) devient "R"
in BR (Bar) et ont la même signification "fils".
¨ Translittéré en
"Hezron" dans la version du Roi
Jacques.
z Ezéchiel dit: "FILS DE L’HOMME, TOURNE TA
FACE VERS GOG, AU PAYS DE MAGOG, VERS LE PRINCE DE MESCHEC ET DE TUBAL, ET
PROPHETISE CONTRE LUI! TU DIRAS : AINSI PARLE LE SEIGNEUR,
L’ETERNEL : VOICI, J’EN VEUX A TOI, GOG PRINCE DE ROSCH , DE MESCHEC ET DE TUBAL.” (Ezéchiel 38 :2-3)
…THE CHIEF PRINCE
OF MESHECH AND TUBAL, AND PROPHESY AGAINST HIM, AND SAY,
THUS SAITH THE LORD GOD; BEHOLD, I AM AGAINST THEE, O GOG, THE
CHIEF PRINCE OF MESHECH AND TUBAL" [Ezekiel
38:2-3]
En hébreu le mot pour “Prince” est "Rosh" [i.e. tête de] et ceci a été compris par les
Commentateurs du Moyen Age non-juifs comme se
rapportant à la
Russie. Les Russes eux-mêmes s’identifiaient avec
fierté aux forces de Gog et Magog, tel que l’écrit Léon Poliakov dans
« The Arian Myth ».
Y La représentation populaire juive des
symboles tribaux attribue le soleil ou un lever de soleil à Ruben.
L’auteur n’a pas encore trouvé la source de cette tradition. Une source
possible peut se trouver en hébreu ou en araméen, en effet les racines
pour « VOIR » et pour « SOLEIL » sont en effet
identiques : (HAMA )
CHAPITRE HUIT:
REFERENCES
1. Encyclopedia Judaica, "Babiru, "Habiru". 2. Roger GRAND, "Recherches Sur
L'Origine Des Francs," Paris 1965, p.410 3. R. Grand (ibid)
p.12. 4. R. Grand (ibid) p.1. 5. R. Grand (ibid) p.1; Victor STARCKE, "Denmark in World History," 1946, trans.
1962, 1968 U.S.A., p.83. 6. Grand
(ibid) p.38; F.L. BORCHARDT, "German
Antiquity in Renaissance Myth," 1971, London and U.S.A, p.198ff., p.165. 7. H.M. CHADWICK, "The Origin of
the English Nation" Cambridge 1924, p.91 n.2 8. Grand
(ibid) p.146. 9. Diodorus Siculus 16; 32. 10. Ptolémée. 11. Hans Joachim
DIESNER,. "The Great Migrations", Leipzig 1978, translated 1982, London,
p.135. 12. Grand (ibid) p.58. 13. Grand (ibid) p.33. 14. Justin
Bk.xii;ix 15.
J.W. McCRINDLE, "Ancient India as
Described by Megasthenes and Arrian," ca/ 1880s, reprinted Calcutta, India 1960, p.110. 16.
Raymond COLE,. "The Migrations of
Israel", Eugene, Oregon, U.S.A. 1980. 17. Grand
(ibid) p.58. 18. R. PRIEBSCH and W.E. COLLINSON, "The German Language,"
London ca.
1936, p.43.+ 19. Grand (ibid) p.38ff., p.58 23. ALTHEIM-1, Franz. ALTHEIM, "GDH".
"Geschichte Der Hunnen". Berlin 1962,
vol.i p.54 . 24. Ortellius, "Tartaria". A.
ANDERSON, "Alexander's Gate, Gog and Magog and the
Enclosed Nations" Cambridge, Massachusetts, U.S.A. 1932, p.72ff;. Dr Adolphe A. NEUBAUER,
"Where Are the Ten Tribes Now?" in Jewish Quarterly Review (JQR) no.1, London iii, 1889. Sir John MANDEVILLE,
"Travels", 1st printed ca. 1499, London 1903, ch.xxix . 26. BLL.
Michael BAIGENT, Richard LEIGH, & Henry LINCOLN. "Hold Blood, Holy Grail",
London
1982, N.Y, 1983 27. BLL. (ibid) 28. Song of
Songs Rabah 4;7
. 29. BLL (ibid) p.238ff. 30. Leon Poliakov, "The Aryan Myth", London 1974 p.
20. 31. DE ROUGEMONT, FREDERIC.
"L'Age de Bronze, ou Les Sémites en
Occident", Paris, 1866. 32 Yair Davidiy, "Ephraim"
ch.7. Yair Davidiy, "Origin" pp.94, 95
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